Dr. Nokuzola Mndende, fondatrice de "Icamagu Institute", est la seule femme présente au milieu de quatre hommes, pour la prière, lors de l'investiture de Jacob Zuma le 24 mai 2014 en tant Président élu d'Afrique du Sud. Les quatre hommes sont ceux qui représentaient les religions eurasiatiques, avec des prières dans diverses langues eurasiatiques, et Dr. Nokuzola Mndende représentait la spiritualité africaine en tant que Sangoma xhosa avec une prière en xhosa. Absent à la cérémonie, le Grand Rabbin de l'Afrique du Sud, Warren Goldstein, a envoyé ses bénédictions par un communiqué lu au nouveau président élu. Les religions eurasiatiques étaient représentées à la cérémonie par les personnes suivantes:
CHRISTIANISME
- Bishop Ziphozihle Siwa
(President of the South African Council of Churches)
avec une prière en anglais.
- Brig. Gen. (Rev) Monwabisi Andrew Jamangile
(Chaplain General of the South African National Defence Force)
avec une prière en anglais.
HINDOUISME
- Ashwin Trikamjee
(President of the South African Hindu Maha Sabha)
avec une prière en hindi et en anglais.
ISLAM
- Mohammed Ismail
(Deputy principal of Pretoria Islamic Education Center)
avec une prière en arabe.
Femmes africaines, où est selon vous l'émancipation de la femme dont ses religions se gargarisent tant? Quand on entend certaines femmes prétendre que les religions eurasiatiques les ont émancipé, on se demande bien comment?
Les religieux préfèrent parler d'émancipation de la femme dans leurs religions seulement comme sujet de spéculation intellectuelle, pour se donner un vernis d'allure civilisée, sans jamais se traduire dans les faits dans le monde réel. À bas les interprétations forcées des versets pour leur faire dire ce qui n'existe pas. Moins d'exégèse, on veut simplement voir ce qu'il en est dans le monde réel. Une image vaut mille interprétations religieuses virtuelles.
« African traditional religion does not discriminate against women. But you'd never know this because current study perpetuates the biases implicit in Judaeo-Christian analysis, and many scholars -- including African feminist scholars -- do not study African traditional religion from direct experience. Their starting point is always the arrival of missionaries in South Africa. » Dr. Nokuzola Mndende